Aujourd'hui,
à l'âge que j'ai, avec l'expérience et le recul que j'ai, je n'ai plus
besoin d'écrire pour évacuer de vieilles souffrances ou refermer de
vieilles blessures.
L'écriture de ce récit aura au moins servi à cela : me rendre compte que je suis également guéri de mes guérisons.
L'écriture de ce récit aura au moins servi à cela : me rendre compte que je suis également guéri de mes guérisons.
PAGES QUI EN PARLENT
13 janvier 2010 : Présentation générale et extrait épilogue
18 avril 2010 : Extrait chapitre 3
16 mai 2010 : Re-présentation générale et extrait chapitre dernier
17 janvier 2011 : Bilan annuel
18 avril 2010 : Extrait chapitre 3
16 mai 2010 : Re-présentation générale et extrait chapitre dernier
17 janvier 2011 : Bilan annuel
TITRE
Jamais sans mon mal, ou l'épileptiforme
GENRE
roman thérapeutique, témoignage romancé
AVANCÉE
environ la moitié
TAILLE ACTUELLE
13 000 mots
SYNOPSIS COURT
Le narrateur-patient raconte quinze ans de sa vie marquées par des expériences médicales douloureuses.
HISTORIQUE
J'ai longtemps hésité avant d'entreprendre ce récit. Je ne pense pas
"avoir besoin" de parler de mes souffrances passées. Je n'ai pas non
plus le désir de m'étaler en autobiographie complaisante. Mon souhait
est d'essayer d'approcher la vérité d'une relation de symbiose avec une
maladie qu'on croit grave, de comprendre comment un enfant (en
l'occurrence moi) réagit face à ça et comment l'entourage, les proches,
les parents font pour le supporter. Dans l'idéal, j'aimerais que ce
récit serve surtout aux parents d'enfants atteints de telles maladies,
ou à ces enfants eux-mêmes s'ils sont assez grands pour lire ce livre.
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