jeudi 2 décembre 2010

Période de sevrage

Déjà deux semaines sans écrire... à l'exception de quelques messages de blogue et de quelques commentaires ici et là.
C'est une situation nouvelle pour moi et je ne vous cache pas qu'il me tarde un peu de "retourner aux affaires".

Cependant, l'activité de relecture me convient aussi très bien, c'est d'ailleurs une des trois raisons majeures pour lesquelles j'écris, je l'avoue : dans le but de me relire.

En attendant mieux, je vous invite à découvrir le message d'hier dans lequel j'invente une nouvelle manière de me faire remarquer sur le Net.
Entendez par là que contrairement à la plupart de mes contemporains qui se filment quotidiennement, j'ai mis en ligne la première vidéo me représentant !
Apparemment, elle n'amuse pas que moi...

Soyez heureux.

7 commentaires:

  1. Nous avions eu en préambule la photographie de " 35 ans de baballe". Nous devions nous attendre à ce qui est arrivé! Ah ils sont forts ces écrivains quand même! Attirer tous les regards sur la dureté de leur convalescence, sans qu'il soit possible de leurs reprocher de se plaindre!
    Bon rétablissement!
    Cothraige.

    RépondreSupprimer
  2. Ma foi, je ne peux pas vous reprocher l'acuité du regard que vous portez sur la narration de mes "malheurs" :))
    Reste qu'un écrivain blessé qui se relit gagne finalement un temps précieux sur le futur...
    Bien amicalement,
    sébastien

    RépondreSupprimer
  3. On a beau savoir marcher, la moindre entorse remet tout en question. La création est un mystère dont on se nourrit par force. Qui peut savoir par quel tourment l'on passe pour y arriver et quand cela s'arrête, parce que, c'est pareil.Il n'y a de réponse ni pour l'une ou l'autre des situations. Cette sorte d'anormalité fait que nous créons, c'est tout. C'est très dur de répondre à ces remarques, injustes, d'abord, déplacées aussi.
    S'ils savaient...il y aurait moins de juges de paix sur cette terre et un peu plus d'humanité et de fraternité. Je sais...c'est démodé, mais pas pour toi.Amitiés,

    Roger

    RépondreSupprimer
  4. En ce qui me concerne, aucune jugement bien sur, simplement un trait d'humour! Apparemment un peu trop gaélique, je suis désolé.
    Bonne journée.

    RépondreSupprimer
  5. Cher Roger, j'imagine que dans ton parcours il y a eu des blessures, et pas seulement des entorses, des moments difficiles et des affrontements féroces... ce qui donne d'autant plus de valeur à ton art aujourd'hui, sans doute.
    En ce qui me concerne, en tout cas, je n'ai pas encore subi la méchanceté de mes semblables. J'espère qu'elle se fera attendre...
    En tout cas je souhaite de tout mon cœur, avec toi, que la fraternité et l'humanité ne se démodent jamais, car je crois que c'est l'avenir de l'Humanité, justement.

    Cher cothraige, je ne pense pas que Roger en ait après toi. Si c'était le cas, qu'il sache qu'il se trompe : Je vous estime humainement tous les deux assez pour n'avoir perçu aucune méchanceté ni aucun jugement négatif dans vos commentaires.

    Amitiés à tous les deux,
    sébastien

    RépondreSupprimer
  6. Si je traduis ma pensée en langage courant, je voulais juste te faire savoir que tu avais eu beaucoup de talent pour nous faire rire.
    Amicalement.
    Cothraige

    RépondreSupprimer
  7. Tant mieux ;))
    Car c'est un blogue joyeux et j'espère qu'il va le rester :))
    Bonne soirée,
    séb

    RépondreSupprimer

Il est interdit de sortir de cette page sans commenter, sauf si vous décidez le contraire...